L'Elysée et la Philharmonie de Paris coproduisent des opportunistes pro Palestiniens ?
Sélène Saint-Aimé, 31 ans, qui n'a pas grandit en Afrique ou aux Antilles Françaises, ni les Etats-Unis d'Amérique, qui était invitée à l'Elysée lors du dîner d'Etat France-Brésil le 5 juin 2025, a très certainement dû décevoir les attentes du couple présidentiel brésilien qui ont grandi avec les musiques de Djavan, Gilberto Gil, Hermeto Pascoal... en matière de culture et d'héritage musical français. L'Elysée n'a pas pu ou voulu inviter des artistes musicaux français authentiques et populaires qui pourtant existent.
Sélène Saint-Aimé, d'un père martiniquais et d'une mère franco-ivoirienne née à Paris, au parcours d'une banlieusarde de Bois-le-Roi, une opportuniste qui se cache derrière une contrebasse, comme l'atteste ses aveux dans la vidéo ci-dessus, Sélène absente de l'héritage et musique moderne des grands festivals en Martinique et la Guadeloupe, contrairement à Grégory Privat, à qui cette année a été décerné le titre honorifique de Chevalier de l'Ordre des Arts et des Lettres. Sélène ne contribue pas au patrimoine et au rayonnement de la culture française, parce que Sélène n'a rien d'une artiste ou d'une promesse notable, comme l'a été Princesse Erika.
Via ses propres publications/interviews, Sélène s'acharne sur les réseaux sociaux, possède deux chaînes Youtube, l'une pro à 300 abonnés et l'autre personnelle de 1 000 abonnés, associées à beaucoup d'articles participatifs sur Internet mais aucun réel suivi de la part du public. Il semble que Sélène compte énormément sur le réseau médiatique ou une source de la Philharmonie de Paris pour atteindre un succès musical qui ne veut pas de Sélène Saint-Aimé.
Sélène passe de la mythologie grecque, de la Lune et du jazz aux musiques traditionnelles créoles où les jeunes d'aujourd'hui ne s'identifient pas ni dans l'un ni dans l'autre des projets musicaux qu'elle propose, Sélène affiche son soutien à la cause pro Palestinienne via son compte Instagram. Or, en 2016, Sélène a participé à l'album du tromboniste Benjamin de Roubaix, fervent défenseur de la cause juive et israélienne.